Lorsqu'on installe Mandriva Linux, on peut choisir les logiciels de deux façons :
par la sélection d'un groupe de paquetages
par la selection individuelle de paquetages
Je trouve cette approche à des années lumières des besoins des utilisateurs, qu'ils viennent de l'univers M$ ou d'ailleurs. Un utilisateur connait globalement ses besoins et connait quelques mots comme traitement de textes, tableur, jeux, son, vidéo, audio, ... Alors, au lieu de sélectionner des paquetages, ne serait-il pas plus facile de sélectionner des applications, applications regroupées en catégories et sous catégories ?
Par exemple, dans la catégorie Internet, sous catégorie Navigateurs, on trouverait Konqueror, Mozilla Firefox, Opera, ... Dans la catégorie Bureautique, sous catégorie Traitements de Textes, on trouverait KWord, Open Office Writer, AbiWord, ...
D'ailleurs, cette découpe Catégories/Sous Catégories/Applications pourrait correspondre à l'organisation du menu K, ce qui simplifierait la tâche de l'utilisateur.
Est-ce compliqué à faire ? Je ne pense pas. Il suffit de créer un paquet virtuel par application - càd des paquets vides mais qui ont des dépendances sur tous les RPMs associés à l'application en question -, et d'ajouter le choix de ne voir que les applications dans le gestionnaire de logiciels. Il pourrait y avoir un paquet virtuel par langue supportée.
Si une telle proposition vous intéresse, n'hésitez pas à voter pour le rapport 15691.
Date de création : 06/11/2005 @ 10:32
Dernière modification : 17/11/2005 @ 08:54
Catégorie : Simplifier l'installation Page lue 7162 fois
Tout à fait d'accord, cela me fait penser aux lave-linge qui faisaient de la surenchère de programmes, alors que la majorité des usagers(et oui Mesdemoiselles, Mesdames, nous avons dû nous y mettrent aussi) n'utilisaient que trois ou quatre programmes au maximum!
Pareil pour le web lorsqu'ils annonçaient brillamment et bruyament des dizaines et des centaines de millions de page à consulter immédiatement? Ma première réflexion à l'époque fut que je serai bien incapable ne serait-ce que de les ouvrir simplement l'une derrière l'autre sans m'y attarder, mème en y consacrant le reste de mon existance. Depuis 1995, mème si j'ai surement visité plusieurs milliers de pages web, la démence venait bien de la proposition et non de mon incapacité à la suivre.
Les "ancien" dont ma grand-mère parlaient souvent du bon sens, je crois cette denrée devenue fort rare voir introuvable dans notre super société technologique, hélas, cent fois hélas!
Ceci dit, merci à ceux qui ont relevé l'immense défit de faire partager envers et contre tout ces merveilleuses technologies.